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Sonu
29 mai 2019

Ceux qui tardent à condamner l’anti-sémitisme

« Il y a beaucoup d’inquiétude » et les actes des derniers jours sont « inacceptables », a estimé M. Jacob lors d’une conférence de presse. Les députés LR ont « tenté à plusieurs reprises » d’élargir le champ des poursuites pour « appels à la haine, à la violence », notamment sur les réseaux sociaux qui « sont parfois des déversoirs de haine ». Il faudrait reprendre l’idée « pour les actes antisémites, et aussi les attaques contre les églises », selon M. Jacob. Jean-Christophe Lagarde a indiqué devant la presse qu’il allait déposer une proposition de loi pour « une augmentation des peines ». Et de lancer: « Le temps des condamnations morales, ça suffit ». De leur côté, des députés LREM ont suggéré « des mesures d’éducation », en cette semaine d’examen par l’Assemblée d’un projet de loi sur l’école. Sa collègue Elise Fajgeles a aussi appelé devant la presse à « un état d’urgence sur l’antisémitisme », avec « des mesures concrètes, peut-être des mesures d’éducation ». Et « ensuite d’être intraitable quotidiennement contre tous ces actes qui, petit à petit, gangrènent notre République dans l’indifférence de nos institutions ». En novembre 2017, il prend la tête du principal parti de la majorité, La République En marche, et obtient le droit de cumuler avec un poste au gouvernement, les Relations avec le Parlement. Son nom est évoqué pour la mairie de Marseille en 2020, comme il y a deux ans pour présider l'Assemblée nationale. Certes, il rêve du job depuis mai 2017. Mais jusqu'à la victoire de Macron, "Casta" n'avait jamais affiché un grand intérêt pour les questions de sécurité. En décembre 2015, alors qu'il conduit la liste socialiste, il insiste surtout sur les questions économiques. S'il se prononce pour la vidéo-surveillance dans tous les trains régionaux, l'exigence de ponctualité passe avant tout dans ses discours. Quant au dernier point fort de son programme, il concerne la préservation de l'environnement. Pendant la campagne présidentielle, l'ancien maire de Forcalquier (Alpes-de-Haute-Provence) n'apparaît pas en pointe sur les questions de sécurité. Il lui arrive toutefois de faire des recommandations au candidat. Après une intervention de Macron à Carpentras, le 17 février 2017, consacrée à ce thème, il lui dit : "Tu ne peux pas ne pas parler de terrorisme." La fois d'après, le candidat aborde le sujet. Yves Lefèvre, secrétaire général du syndicat FO Police, se souvient d'un seul débat face au porte-parole du candidat, organisé par l'agence de presse AEF. Parmi les chantiers du nouveau ministre de l'Intérieur, la poursuite de la mise en place de la police de sécurité du quotidien, un engagement du candidat Macron, ou encore l'application de la loi asile-immigration, votée l'été dernier à l'Assemblée. Il est le seul. Et, il est UMP… Franck Riester, député-maire de Coulommiers est l’unique homosexuel revendiqué parmi les 577 élus du Palais Bourbon. Ironie du sort, il appartient à un parti de droite et à un camp présidentiel qui refusent le mariage gay, l’homoparentalité ou la procréation médicalement assistée. Sans parler des dérapages homophobes des grandes gueules de la droite populaire, frange extrême de l’UMP. Riester n’est pas le premier politique français à faire son coming out. Mais, ils restent peu nombreux et il est le plus jeune (38 ans) dans le genre. Bertrand Delanoë (PS), feu André Labarrère (PS), Roger Karoutchi (UMP), Jean-Luc Romero (UMP passé PS) ou Christophe Girard (Vert devenu PS) l’ont précédé sur ce chemin peu pratiqué. Riester reconnaît d’ailleurs volontiers l’apport défricheur de Delanoë en la matière. Il dit : «Très jeune, j’ai eu une conscience claire de mon identité sexuelle. Et aucune culpabilité n’a jamais encombré mes désirs. Mais, mon idéal social, lui, était hétéro.» Il veut une famille, des enfants. « Les quotidiens, quels qu'ils soient, ne font plus l'actualité, constate-t-il. Ils suivent les chaînes d'information en continu qui, de plus en plus, suivent les réseaux sociaux. Or, vous pouvez manipuler les débats. Il y a quelqu'un qui est à la frontière technologique de cette transformation, c'est Trump. C'est une question que l'on doit se poser. ] et les manipulations qui vont avec le nombre de vues. On l'a bien vu sur Facebook : plus j'ai d'amis, plus j'ai de capacité de diffusion, plus je suis relayé. Or, dans l'affaire Benalla comme Gilets jaunes, la fachosphère, la gauchosphère, la russosphère représentent 90 % des mouvements sur Internet. De plus en plus, des chaînes d'information disent « ceci est important, ceci est légitime » parce qu'il y a du mouvement sur Internet. Ce mouvement est fabriqué par des groupes qui manipulent, et deux jours après, ça devient un sujet dans la presse quotidienne nationale et dans les hebdos. Pari réussi pour les trois compères, la Ruche décolle, en partie grâce à la facilité avec laquelle Mounir Mahjoubi comprend et analyse les enjeux de l’écosystème numérique : « Mounir a un caractère assez complémentaire du mien. Moi, je suis un exécutant, lui c’est un véritable communiquant, il est très bon pour connecter les gens », explique Marc-David Choukroun. C’est après son passage chez BETC qu’il bascule vraiment en politique. Passionné de politique, il avait déjà suivi la campagne de Ségolène Royal en 2007 et s’investit dans celle de François Hollande cinq ans plus tard. Un passage éclair, pourtant très remarqué. Comme Bertin Nahum, ses anciens collaborateurs ne tarissent également pas d’éloges sur le nouveau secrétaire d’Etat au Numérique et attendent beaucoup de ce petit génie à l’ascension fulgurante. « C’est un vrai geek mais qui a une compréhension très pointue du monde d’aujourd’hui, estime Mercedes Erra. Il est très politique, très concerné, très socialiste. Benjamin Griveaux: “Moi, je gagne très bien ma vie. Je gagne 7900 euros Net ! ] Je ne vis pas dans un château, je suis locataire. Je ne suis pas propriétaire à Paris parce que le prix du m² est trop cher. Griveaux: “Nous ne changerons pas de cap car le cap est le bon,… ça nous en sommes certains ! ” Benjamin Griveaux: “Nous devons aller plus loin dans le changement, être encore plus radicaux dans nos méthodes ! Nous sommes à la veille d’un tournant majeur dans l’économie mondiale. Pour les très rares personnes qui ont des actifs à protéger, le moment est venu de sortir des bulles d’actifs, comme je le recommande depuis longtemps. Il est également temps de détenir de l’or et de l’argent physique comme assurance pour son patrimoine. Les métaux précieux atteindront des niveaux sans précédents, voire non envisageables aujourd’hui avec l’hyperinflation. Au fil du temps, cela vous permettra d’accumuler un important pécule. Pour lui, un bon vin se fait dans la vigne, sans chaptalisation, ni levurage, à partir de raisins issus d’agriculture respectueuse et en bio-dynamie. Les vins du Domaine Philippe Chatillon sont labellisés Bio Ecocert. Bio-harmonie, qu’est-ce que c’est ? Philippe Chatillon travaille ses vins en bio-harmonie. Selon lui, la vibration du son est importante puisqu’elle permet d’équilibrer les vins à la cave. Il utilise une harpe en cristal et des bols chantants pour harmoniser les vins. Ceci amène une énergie, la recherche d’une harmonie. Il n’y a ni filtration, ni collage, il met en bouteille le vin par gravité. « Le vin est un aliment qui doit être sain et vivant et qui apporte une émotion ». Plus qu’un métier, une véritable rencontre entre l’énergie de l’Homme et celle de la Nature s’opère. C’est ce que le visiteur découvrira si l’envie lui vient de s’égarer au cours d’une visite ou d’un stage dans les caves et les vignes. Là je dis à mes collègues : « vous n’allez pas me croire, mais avec Minc, il y avait Macron ». Mes amis me disent que je suis peut-être un peu fatigué, mais que ça n’est pas possible. Je décide d’aller voir si Macron est toujours derrière la porte. Je ne vois personne dans l’entrée, personne derrière la porte, personne dans la cour. Je reviens sans l’avoir trouvé. Mais avant que nous séparions, je décide de faire une autre tentative, et je demande aux autres de m’attendre. Je monte à l’étage et je sonne au bureau de Minc, mais tout le monde est parti manger. Et je me dis, tiens, si j’allais monter voir aux autres étages. J’avais une sorte de pressentiment. J’avais vu que Macron se cachait, or quelqu’un qui se cache doit continuer à se cacher. Je monte les marches. Mon téléphone sonne en appel masqué. Je n’ai pas su qui c’était, j’ai raccroché.

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