Peur en avion

Il est aujourd’hui envisageable de se mettre aux commandes d’ un Boeing 737 en simulateur de vol professionnel. Cette action extraordinaire est faite dans une école de qualification des pilotes à Roissy et Lyon. Ces PNC partiront à postériori voler pour les compagnies aériennes. Les simu de vol professionnels sont des merveilles de techniques, mus par des vérins électriques, qui font exactement les déplacements d’un avion de ligne. Cette pratique est relativement estimée par les amoureux d’aviation, mais également par ceux qui veulent discerner la profession de pilote. Les individus sont admis par un pilote pro sur le centre de formation. Un court briefing de 30mn est dispensé puis commence la session de simulateur de vol. Le participant peut élire son point de départ et son aéroport d’arrivée. Le candidat pourra encore créer la majorité des intempéries météo et les problèmes qui peuvent advenir en vol. Les épris d’aviation s’en donnent à cœur joie. Mais aussi ceux qui ont peur en avion. Quelques personnes ont peur en vol à cause d’une désagréable expérience de vol. Des individus ont éprouvé des turbulences très fortes, comme des conditions plus pénibles telle qu’ être frappé par un éclair en cours de vol, ou aussi un phénomène de dépressurisation. Toute situation durant le vol désagréable crée une appréhension du prochain vol. Avec le but de combattre contre cette peur et cette peur de prendre l’avion. Les simu professionnels sont maniés par les professionnels pour effectuer des cours antistress pour lutter contre l’appréhension de l’ avion. Ces cours sont individualisées et présentés à la personne pour une supérieure efficacité. Le cours de 3h permet au prétendant d’assimiler l’aérodynamique d’un jet et de se placer en condition, face aux commandes d’un aéronef. Secondé d’un instructeur, la personne lutte contre ses appréhensions afin de mieux les comprendre et les dépasser. Les simulateurs disponibles sont des Airbus 320 et simulateurs Boeing. La méthode de piloter l’un et le simu B737 sont différentes. La manière de pilotage Airbus 320 est basée sur le manche – vous lancez une impulsion sur le manche et l’aéroplane va fixer l’angle qui vient de lui être ordonné, sans conserver l’angle d’attaque sur le joystick. Ceci est souvent déroutant pour un pilote. A l’opposé, Boeing conserve un feeling de vol classique. Le joystick est traditionnel, et il faut permuter l’angle d’attaque sur le manche à balai pour continuer l’angle ou l’angle de l’aéroplane. Pour prendre de l’altitude, vous tirez sur le joystick, et il faut fixer cette angle pour continuer à monter. A l’inverse sur le simu Airbus, vous initiez un angle d’attaque de hausse, et il est possible de lâcher le joystick. L’aéronef maintient sa montée. En vue de ramener l’assiette, vous devrez ainsi repousser sur le joystick pour recouvrer l’angle primitive. Il n’y a pas de choix parfait pour votre simu, cela dépend des souhaits des candidats. Mais certainement, la session en simu professionnel est spéciale.